Panic! At the réseaux sociaux
La plupart des copywriters, vous leur faites traverser un village amish en Lambo jaune pétant qu'ils parviendraient encore à passer inaperçus. Leur charisme à l'écrit est au niveau de la mer. Paraît que c'est parce qu'eux, ils ont appris à vendre, ils sont efficaces, performants. N'empêche qu'avant de pouvoir vendre, encore faut-il savoir capter l'attention. N'importe qui peut faire du chiffre en envoyant un mail bourré de cliché, terminé par un CTA, à une liste de 50 000 personnes. Le véritable talent, c'est celui qui arrive à remplir cette liste.
Le test ultime
Pour apprendre à capter l'attention, il existe un immense terrain de jeu qui s'appelle les réseaux sociaux. Tant redouté par les rédacs pour ses retours immédiats et souvent cruels, il s'occupe de séparer le bon grain de l'ivraie.
Esquisse de posts publiés le plus souvent en mon compte et quelques fois pour des clients, qui ont embrasé les réseaux sociaux, les coeurs des internautes et l'estomac des concurrents.
Carte de voeux
Entre nous, pour un copywriter, y a rien de pire que de devoir écrire une carte de voeux. C'est le dada des RP - qui affectionnent tout ce qui est officiel et langage léché - mais pas le nôtre. Et pourtant c'est toujours sur nous que ça tombe.
Fin d'année, on n'y échappe pas. Alors pourquoi pas, pour une fois, proposer un truc un peu décalé sans que ça fasse kitschouille ?
Et si les banquiers, d'habitude aussi léchés qu'une comm' RP, optaient pour un langage avec l'accent du coin ? Bah la banque devient une vraie batoille et tcheu c'est beau !
Vous... et moi ?
Ce case vous a mis des papillons dans le ventre ? Vous souhaitez devenir une marque qui se démarque et qu'on remarque ? Ecrivez-moi.